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  • Historique de consultation et d’information aux producteurs visés

    Historique de consultation et d’information aux producteurs visés

    20 janvier 2015 – Évaluation périodique des interventions du SPFSQ par la RMAAQ- Signification du malaise du décrochage des prix du bois scié versus le bois rond dans le sapin-épinette par le conseil d’administration du SPFSQ. 8 août 2016 – L’offre surpasse la demande pour le sapin-épinette au sud du..Lire la suite

  • 2015-Tentative de mise en marché volontaire

    2015-Tentative de mise en marché volontaire

    25 novembre 2015 -Soirée d’information du SPFSQ– Proposition d’un programme volontaire de regroupement de volume de bois qui serait mis aux enchères pour les scieurs ;

  • Tentative de mise en marché volontaire

    7 décembre 2015 – Mise aux enchères de 1,145 M mpmp et 415 cordes de 8 pi ou 10 pi. Auprès de 15 usines de sciage (Québec et États-Unis). 18 décembre 2015 – Résultat de la mise aux enchères : L’industrie n’est pas intéressée par l’offre des producteurs;

  • 2016 Tentative de mise en marché volontaire

    2016 Tentative de mise en marché volontaire

    Juillet 2016-Offre de volumes garantie aux scieurs – 4,3 M mpmp sur six (6) mois vers des scieries hors du territoire historique. Automne 2016-Résultat de l’offre de volumes garantie aux scieurs : Les scieurs ne démontrent aucun intérêt pour ce type de mise en marché; Abandon de la mise en..Lire la suite

  • Historique de consultation et d’information aux producteurs visés

    Historique de consultation et d’information aux producteurs visés

    27 février  au 15 mars 2017 – Six (6) assemblées de secteurs 2017 du SPFSQ; Présentation des solutions envisagées et arguments en faveur des solutions présentées : Agence de vente dans le sciage résineux; Réaction favorable des producteurs présents. 27 avril 2017 – Assemblées générales annuelles du SPFSQ et du..Lire la suite

  • Historique de consultation et d’information aux producteurs visés (2017)

    Historique de consultation et d’information aux producteurs visés (2017)

    Juin 2017 – Parution de « L’arbre PLUS », volume 30, numéro 2 – juin/juillet/août 2017; Message du président – PARCE QUE LA PATIENCE A SES LIMITES; Sommaire – Projet de mise en marché collective du bois de sciage; 21 août 2017 – Réception du rapport d’évaluation périodique de la..Lire la suite

  • SHERBROOKE — Entre 200 et 250 producteurs forestiers en provenance des quatre coins du Québec ont manifesté ce matin à Sherbrooke !

    SHERBROOKE — Entre 200 et 250 producteurs forestiers en provenance des quatre coins du Québec ont manifesté ce matin à Sherbrooke !

    Le 20 février 2019- La manifestation a eu lieu devant l’hôtel où la Régie des marchés agricoles et alimentaires du Québec tient des audiences depuis le 5 février sur cet enjeu. Domtar et le Conseil de l’industrie forestière du Québec demandent à la Régie de suspendre la mise en marché..Lire la suite

  • Timeline 4

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Résolution sur la mise en marché collective du bois de sciage résineux: les délégués vote en faveur à 76%

Les producteurs forestiers du Sud du Québec font le choix de négocier collectivement avec les scieries C’est à la suite d’une assemblée générale spéciale qui se tenait en soirée le 9 novembre 2017 dernier au Centre de foires de Sherbrooke que les délégués(es) du Syndicat des Producteurs forestiers du Sud du Québec (SPFSQ) ont pris une décision historique. Dorénavant, le prix du bois de sciage résineux sapin épinette des producteurs forestiers de l’Estrie et de la Montérégie sera déterminé suite à une négociation collective menée par le SPFSQ auprès des scieries. « Je suis extrêmement fier de la décision qui a été prise par l’ensemble des délégués(es) » s’est enchanté M. André Roy, président du SPFSQ. « C’est historique pour notre région! Cela fait 20 ans que le prix du bois de sciage stagne. En se regroupant tous les producteurs ensemble, en allant s’asseoir à la même table avec les scieries et en négociant collectivement, les producteurs forestiers auront enfin un meilleur prix pour leur travail. » La nouvelle mesure fait en sorte que dorénavant, le Syndicat des Producteurs forestiers du Sud du Québec se chargera d’aller négocier le prix du bois de sciage directement avec les scieries. Ce prix sera ensuite appliqué à la grandeur des transactions de bois de sciage sur le territoire de l’Estrie et de la Montérégie. Auparavant, les scieurs informaient les producteurs d’un prix minimum qu’ils devaient s’engager à payer et ils pouvaient offrir des prix différents pour certains producteurs. La baisse du nombre de scieries dans les dernières années ayant entraîné un débalancement dans le marché, la concentration du nombre d’acheteurs avait fini par défavoriser le producteur au détriment des transformateurs de bois. « La force du syndicalisme forestier, la force qu’on se donne quand on se regroupe pour aller chercher des gains pour tout le monde, il faut reconnaître que c’est moins au goût du jour qu’autrefois », de rappeler M. André Roy. « La décision historique qui a été prise par les délégués(es) en assemblée générale spéciale prouve que nos convictions ont encore toute leur pertinence. L’union fait la force et ensemble, nous allons toujours plus loin », de conclure le président du SPFSQ. Une période de transition sera nécessaire pour permettre de négocier des ententes avec les scieurs, à la satisfaction des deux parties. Entre-temps, les livraisons se poursuivent selon les ententes existantes.  Source : Arbre plus  Janvier à mai 2018

MESSAGE DU PRÉSIDENT Une détermination plus que jamais nécessaire

Depuis la mise en place de notre Syndicat, en 1962, puis de notre plan conjoint, en 1965, l’adoption de mesures susceptibles de renforcer le pouvoir des producteurs de notre région a toujours suscité l’opposition d’industriels forestiers. Ce fut le cas entre 1972 et 1978 lors du débat sur l’adoption du Règlement d’exclusivité visant la vente en commun du bois de pâte.
Cette opposition s’est répétée en 1992 lors de l’élargissement de la portée du règlement au bois de sciage. C’est encore le cas aujourd’hui avec la volonté de négocier collectivement les conditions de vente de sapin et d’épinette de qualité sciage. À chacune de ces occasions, des industriels ont multiplié les démarches juridiques devant la Régie des marchés agricoles et alimentaires du Québec pour bloquer ces projets.
Pourtant, tous les règlements qui furent adoptés par le Syndicat ont contribué à améliorer les conditions de vente des producteurs forestiers, tout en favorisant la mobilisation des bois pour assurer le développement d’une industrie forestière performante dans la région. Oui, il est possible de faire les deux à la fois; l’expérience l’a démontré. Retourner dans l’ancien système des agents de compagnie serait-il une évolution heureuse?
Je ne comprends donc pas l’acharnement des industriels qui contestent, devant la Régie des marchés agricoles et alimentaires du Québec, une décision votée à 76 % des délégués lors d’une assemblée générale extraordinaire de notre plan conjoint, ayant suivi une année d’information et de consultation des producteurs forestiers de notre territoire. Les audiences se déroulent depuis 18 jours et des dates supplémentaires sont prévues en février et mars prochains.
Cette démarche pourrait bien avoir pour objectif de nous épuiser financièrement et d’indiquer à ceux qui voudraient nous imiter le prix d’une telle « émancipation ». Je peux vous affirmer que la détermination de vos administrateurs du Syndicat est sans faille et qu’ils ont décidé, unanimement, de porter la décision des producteurs à son terme. Il y a des luttes qui méritent qu’on s’y investisse totalement. Le droit de négocier collectivement les conditions de vente de notre bois est de celles-là. Source : L’arbre PLUS JANVIER-MAI 2020.

Le propriétaire forestier, maître de sa mise en marché?

Il est primordial que le propriétaire forestier investisse l’espace démocratique qui lui revient pour s’assurer que le bien commun de tous les propriétaires forestiers soit défendu. C’est l’essence même du syndicalisme forestier. Nous avons assisté lors des dernières assemblées de secteurs, à la mobilisation des transporteurs, des entrepreneurs forestiers et des opposants au projet de mise en marché collective qui ont investi les assemblées de producteurs forestiers pour pourvoir aux postes de délégués dans l’espoir de changer les résolutions qui ont été adoptées dans les dernières années.

Si tous les acteurs sont importants, incluant évidemment les entrepreneurs forestiers et les transporteurs, ils ne peuvent pas remplacer le propriétaire forestier. En effet, la participation des propriétaires forestiers au processus démocratique est déterminante pour permettre au Syndicat de mener à terme des projets qui leur seront porteurs et bénéfiques. C’est le propriétaire forestier qui détient le fond de terre, qui paie les intérêts de ses prêts hypothécaires ainsi que les taxes foncières et scolaires sur sa propriété. C’est lui qui prend les décisions sur la gestion de sa propriété, qui entretient les chemins forestiers et réalise, ou confie la réalisation, des travaux d’aménagement nécessaire. C’est aussi le propriétaire forestier qui supporte bon nombre des risques associés à sa production de bois. En cas d’incendie de forêt, de chablis majeurs, d’épidémie d’insectes, ou autres catastrophes naturelles, il peut perdre des décennies de travail, d’efforts de planification et d’efforts financiers associés à la production d’un bois de qualité pour l’industrie. Il est donc normal que la voix du propriétaire forestier se fasse entendre dans les instances du Syndicat chargé de défendre ses intérêts.

Évidemment, le propriétaire n’est souvent pas seul pour réaliser les opérations de production forestière. Il peut compter sur un entrepreneur forestier ou un conseiller forestier de sa région afin de l’orienter dans les démarches de récolte et de mise en marché de ses produits forestiers. Mais ces acteurs ne peuvent remplacer le propriétaire forestier dans les délibérations portant sur la mise en valeur de ses boisés. Comme le principal revenu des entrepreneurs forestiers, conseillers et transporteurs est de vivre de la récolte ou du transport du bois qui a été majoritairement produit par d’autres propriétaires forestiers, leurs intérêts peuvent être divergents de ceux des propriétaires forestiers eux-mêmes.

Leurs intérêts sont d’avoir des débouchés pour vendre les produits qu’ils récoltent sur les terrains des propriétaires forestiers et bien que le prix obtenu puisse avoir une importance pour eux, leur principale préoccupa- tion est de ne pas manquer de travail. Propriétaires forestiers, restez maîtres de la mise en marché de votre production qui vous a demandé tant d’effort et de sacrifice au fil des ans. Soyez donc présents en grand nombre lors des prochaines assemblées de secteurs et géné- rales. Il est important d’élire des propriétaires forestiers qui partagent vos préoccupations d’obtenir des prix adéquats pour vos produits, afin qu’il vous en reste le plus dans votre poche à vous et qui ont à cœur les valeurs d’égalité des chances dans la mise en marché et de solidarité, pour le bien commun de tous les propriétaires forestiers du plan conjoint. Communiqué du conseil d’administration du Syndicat des Producteurs forestiers du Sud du Québec Source : L’arbre PLUS JUIN-JUILLET-AOÛT 2020

« Négocier, c’est notre droit »
Les producteurs forestiers se font entendre
Virus dans la mise en marché collective du bois de sciage résineux

Où en sommes-nous avec le projet de mise en marché des billes de sciage de sapin et d’épinette ?

En novembre 2017, les producteurs, lors de l’assemblée générale spéciale des producteurs forestiers du Sud du Québec, ont confirmé leur volonté d’aller de l’avant avec le projet de négociation collective des conditions de vente des billes de sciage de sapin et d’épinette. Depuis, un producteur, des industriels et un groupe d’entrepreneurs forestiers contestent la mise en œuvre de ce projet devant la Régie des marchés agricoles et alimentaires du Québec, qui entend toujours les parties dans ce dossier. Or, près de trois ans plus tard, la situation sur les marchés démontre toujours la pertinence de ce projet. Voir ici bas des dispositives question-réponses

 
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Pourquoi négocier collectivement les conditions de vente des billes de sciage de sapin et d’épinette?

Réponse : Actuellement, les prix d’achat des billes de sciage sont déterminés par les scieurs pour les différentes qualités de bois, sans aucune négociation avec le Syndicat des Producteurs forestiers du Sud du Québec, qui ne fait que communiquer les listes de prix aux producteurs de la région. Chaque producteur a la possibilité de négocier avec l’acheteur de bois d’une scierie, mais son pouvoir de négociation est très limité en raison de son poids relatif sur le marché. Comme c’est déjà le cas pour le bois à pâte, la négociation par le Syndicat des conditions de vente de bois au nom de l’ensemble des producteurs forestiers de la région permettra d’obtenir un meilleur pouvoir de négociation.

Quels seraient les bénéfices de l’amélioration des conditions de mise en marché dans le sciage résineux sapinépinette?

Réponse : Le propriétaire forestier est le premier bénéficiaire de l’amélioration des conditions de vente de ses produits. Les gains obtenus se refléteront dans ses revenus lors de la récolte de ses bois, sur la valeur de ses propriétés forestières et sur l’attractivité de l’activité forestière pour les investisseurs. Un secteur sans revenus adéquat n’est pas un secteur viable à long terme et sera délaissé. L’amélioration des conditions bénéficiera à tous les autres intervenants forestiers : entrepreneurs, transporteurs, conseillers forestiers et industriels, qui pourront compter sur des approvisionnements stables.

Qu’est-ce que la négociation collective permettrait que le système actuel ne permet pas?

Réponse : Les propriétaires et producteurs forestiers bénéficieront des mêmes prix à l’usine pour leurs livraisons de billes d’une même qualité à une même scierie.

Pourquoi les acheteurs accepteraient-ils de négocier avec le Syndicat des Producteurs forestiers du Sud du Québec?

Réponse : Parce que l’acheteur de bois a l’obligation, en vertu de la Loi sur la mise en marché des produits agricoles, alimentaires et de la pêche, de négocier les conditions de mise en marché avec le Syndicat lorsque celui-ci en fait la demande.

Pourquoi certains industriels s’opposent à la négociation collective du sciage de sapin et d’épinette?

Réponse : Poser la question c’est y répondre. C’est la crainte de devoir payer plus cher pour leur approvisionnement en bois.

Pourquoi y a-t-il de l’opposition concernant la négociation collective du sciage résineux sapin-épinette?

Réponse : Une organisation démocratique encourage le débat. À l’heure actuelle, un groupe d’entrepreneurs forestiers aimeraient conserver la possibilité de négocier eux-mêmes les conditions de vente du bois. Pourtant rien n’indique qu’ils vendront leur bois moins cher. Il y a davantage de chance que la prime qu’ils parviennent à obtenir de scieurs soit transmise à l’ensemble des producteurs livrant à ces usines.

L’intérêt des entrepreneurs forestiers et des transporteurs diffère de celui des propriétaires forestiers. Bien que le prix du bois soit important pour les entrepreneurs, leur priorité est d’avoir suffisamment de débouchés pour vendre leur bois, car ils ont investi dans des équipements de récolte très dispendieux.

Pourquoi faire ce changement maintenant?

Réponse : Parce que la concentration de l’industrie nous oblige à nous regrouper pour avoir, tous ensemble, une influence sur le marché. Le respect des propriétaires et des producteurs forestiers commande le rétablissement d’un rapport de force équilibré. Nous avons ce rapport de force dans la pâte, les propriétaires forestiers ont besoin de l’avoir pour les billes de sciage de sapin et d’épinette, qui représentent désormais la majorité du bois commercialisé. Le système actuel date de plus de 35 ans, il doit évoluer et les conditions de mise en marché doivent être négociées pour pouvoir s’améliorer.

Comment m’impliquer dans la défense de la mise en marché de ma production forestière?

Réponse : En participant à la vie démocratique de la seule organisation qui regroupe les forces des 19 500 propriétaires et producteurs forestiers de notre région, soit le Syndicat des Producteurs forestiers du Sud du Québec. En assistant aux assemblées de secteurs et aux assemblées générales du Syndicat. En votant pour des propriétaires forestiers qui vont travailler pour l’ensemble des propriétaires forestiers du Sud du Québec.

Les activités syndicales

Le Syndicat est le gestionnaire du Plan conjoint des producteurs forestiers du Sud du Québec. Il regroupe 13 500 propriétaires de boisés dans les régions administratives de l’Estrie, Montérégie, Centre-du-Québec et Chaudière-Appalaches dont environ 4 130 sont membres d’un organisme de gestion en commun (OGC) ou communément appelé groupement forestier.

Le Syndicat possède un membership de 5125 membres (38%). Son territoire couvre 25 000 km2 (2 500 000 hectares ou 6,1 millions d’acres) dont 43% est composé de terrains forestiers productifs soit 10 650 km2. Les forêts du Sud du Québec appartiennent à 94% à des propriétaires forestiers privés. La superficie forestière appartenant aux grands propriétaires (+ de 800 ha soit 2 000 acres) totalise environ 1 250 km2, soit l’équivalent de 10% du territoire du plan conjoint.

On retrouve 28 MRC ou partie de MRC sur le territoire du plan conjoint sur lequel on dénombre 266 municipalités.

L’assemblée générale des membres de chaque secteur (Syndicat) et l’assemblée des producteurs de chaque secteur (Plan conjoint) et qui sont tenues simultanément, est convoquée par le Syndicat au moins vingt jours avant la date d’assemblée par avis écrit, dans le journal d’information L’arbre PLUS, à tous les membres et tous les producteurs du secteur.

Préalablement à l’assemblée générale annuelle, le Syndicat tiendra des assemblées des membres de chaque secteur dans chacun des six secteurs suivants Cliquer ici ! lesquels secteurs correspondent à ceux mentionnés dans le Règlement du Syndicat des producteurs de bois de l’Estrie intitulé Règlement sur la division en groupes des producteurs de bois de l’Estrie approuvé par la Régie des marchés agricoles et alimentaires du Québec).

Les assemblées générales

Les assemblées générales, soit celle du Syndicat et celle du Plan conjoint, sont le lieu privilégié où se discutent et se déterminent les politiques et positions défendues par le Syndicat ainsi que les différentes modifications a apporter aux règlements s’il y a lieu .

Elles se tiennent la même soirée, généralement le dernier jeudi du mois d’avril de chaque année (voir le bulletin d’information L’arbre PLUS de Janvier à mai pour la précision). Malgré le fait que seul les délégués ont le droit de vote, tous les producteurs sont invités à y assister.

Présentation Powerpoint à l’AGA 2019

Cahier des résolutions 2019

La construction et le cheminement d’une résolution

LES RAPPORTS ANNUELS

Rapport annuel 2010

Rapport annuel 2011
Rapport annuel 2012
Rapport annuel 2013
Rapport annuel 2014
Rapport annuel 2015
Rapport annuel 2016
Rapport annuel 2017
Rapport annuel 2018

Les assemblées de secteurs

Le Syndicat applique depuis 1986 le Règlement sur la division en groupes des producteurs. Ce règlement prévoit la tenue d’une assemblée de secteur dans les six secteurs du territoire. Ces assemblées ont pour objectif d’élire les délégués qui représentent les producteurs de chaque secteur à l’assemblée générale annuelle du plan conjoint. Lors de ces rencontres, nous donnons aux producteurs le rapport des activités dans la mise en marché, l’aménagement et les actions du conseil d’administration durant la dernière année.

Document présenté aux producteurs assemblées 2019

Formulaire d’adhésion, devenir membre et procuration pour représentant

spbestrie.qc.ca/…/Formulaire-de-mise-en-candidature-adm-président-relève.pdf

Définitions des catégories de membres du SPFSQ

Formulaire de mise en candidature adm + président + relève

Règlement au sujet des procurations de représentants

Les réunions d’information et soirée conférence

Le Syndicat tient régulièrement des soirées-conférences ou des réunions d’informations. Ces rencontres informelles visent à présenter des sujets pertinents ainsi que faire le tour des dossiers tels que la mise en marché (livraisons, contingents et contrats), le suivi des résolutions de l’assemblée générale annuelle ainsi que tout sujet d’actualité touchant les producteurs de bois estrien

Soirée-conférence sur l’évalution foncière-25 nov2020-Marco Fournier 

Conférence sur l’arpentage et la délimitation des lots boisés privés au Québec_Richard Thibaudeau

Document sur la mise en marché et le point sur la négociation collective du bois de sciage de sapin-épinette  Soirée-conférence SPFSQ 2019 vf

Les mémoires présentés par le Syndicat

Mémoire UPA-Estrie & SPFSQ présenté au BAPE – Voie ferrée de contournement Lac-Mégantic (Juin 2017)

Dernière mise à jour :
09 / 02 / 2021

Heures d’ouverture

1er sept. au 15 mai : Lundi au vendredi de 8 h 30 à 16 h 30

15 mai au 1er sept. : Lundi au jeudi de 8 h 30 à 16 h

Vendredi : 8 h 30 à 12 h

Samedi et dimanche : Fermé

Tél. : 819 346-8905 | Sans frais : 1 855 741-8905

Télécopieur: 819 346-8909

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